Les entrees : le temps qui passe la nature la relation poete femme

Written by on October 16, 2022

Les entrees : le temps qui passe la nature la relation poete femme

moyen qui passe

c’est 1 poeme orphique dans lequel le poete pleure la perte une femme aimee et regrette le temps ou il est a ses cotes. Notre poeme va opposer l’ephemere et l’eternel, le temps de l’organisme et le temps mineral. Des la premiere strophe apparait cette opposition : « nuit eternelle », Le temps reste donne par la metaphore « l’ocean des ages » et l’adjectif « eternelle », ainsi que l’adverbe hyperbolique « forcement ». Ca s’oppose au moment ephemere « un seul jour » (S 1). L’antithese « forcement » et « un seul jour » vient ouvrir et clore la strophe .

Cette toute premiere strophe met en place moyen qui passe trop vite pour l’homme et qu’il voudrait retenir ainsi que l’eternite d’la nature. Il utilise, pour « marquer » le temps, les indices temporels « naturels », le champ lexical un moment, les temps verbaux, et des adverbes ou adjectifs de moment.

– Mes indices « naturels » temporels : « l’annee » (strophe 2) « 1 jour » (strophe 4), « des heures », « les individus des journees » (S 7), « la nuit », « l’Aurore » (strophe sept). On remarque des temps libre longs comme «l’annee » et des temps courts tels que « l’Aurore » ou « l’heure ». Ce seront des marqueurs du cycle un moment.

– Le champ Lexical du temps : tout d’abord avec l’evocation meme un moment lui meme ; la jeune femme s’adresse au temps avec le vocatif « O temps libre », il va i?tre donc allegorise, de la meme maniere elle s’adresse aussi a toutes les heures « et vous heures propices ». Moyen est evoque a travers deux metaphores premierement la metaphore de l’eau qui revient au discours de Julie « coulez, coulez Afin de eux » et la metaphore de l’oiseau avec l’evocation du vol « suspend ton vol ». la metaphore de l’eau est utilisee des la strophe 1 avec le poete sdc compte : « l’ocean des ages » , « nouveaux rivages », «jeter l’ancre ».

– des adverbes et adjectifs temporels : qui vont la bien montrer des temps libre courts ou longs, rapides ou lents : « toujours », « jamais », « eternelle»(S1), « a peine »(S2), « bien a coup »(S5), « rapides »(S6), « fugitive »(S9), « vitesse »(S10) on remarque que les termes qui montre la rapidite du temps paraissent associes a l’epoque ou les amoureux etaient ensembles.

Les temps verbaux : moyen apparait aussi dans l’utilisation des temps et de leur valeur.

On voit bien d’abord un present d’enonciation celui qui correspond au present du poete « je viens » (S 2) et celui que l’on retrouve dans la parole rapportee au look direct de Julie « je demande », « je dis » (S 8), et un present de verite generale pour imager la fuite un moment « l’homme n’a point de port , moyen n’a point de rive »(S1). On retrouve aussi un futur mais qui evoque a chaque fois une fatalite douloureuse. « Ne pourrons-nous pas « (S1); « ne nous nos rendra plus »(S11). Cela utilise aussi des temps libre du passe en particulier l’imparfait Afin de decrire moyen ou il est avec Anna Charles «on entendait au loin »(S4) ou encore et i§a reste plus surprenant, le passe compose dans le soir vers du poeme « ils ont adore » qui semblent montrer que l’amour reste fini. On remarque que les verbes qui parlent un moment seront tous des verbes de mouvement qui traduisent ainsi l’impossibilite d’arreter le temps : « emportes » (S 1), « coulez » (S 7), « m’echappe et fuit » (S 8), « nous passons » « s’envolent » (S 10).

J’ai nature chez nos romantiques a une importance capitale . Elle est a J’ai fois le refuge, la confidente, le miroir des emotions du poete. Effectivement dans votre poeme Lamartine se refugie dans votre nature qui avait accueilli ses amours et qui maintenant l’accueille avec ses souvenirs

– Sans compter que la nature devient le refuge du poete « s’asseoir concernant cette pierre » Cela reste vraiment totalement entoure accueilli par la nature « les flots » (strophe 2), « les roches » (strophe 3). Mais aussi « coteaux », « sapin » (strophe 14) et donc une description en nature qui l’entoure et votre nature apparait a travers les divers sens du poete : la vue donnee par nos differentes descriptions et les couleurs telles que « front d’argent qui blanchit a surface » (strophe 15), l’odorat « parfum leger » (strophe 16) le toucher « l’ecume de tes ondes sur ses pieds adores » (strophe 3) ou enfin l’ouie « les trucs de tes bords partaient bords repetes » (strophe 15)

– . Des Notre strophe 2 le poete personnifie le lac avec le vocatif « O lac ». La personnification sert au poete pour se confier il s’adresse ainsi a la nature tel a une amie ainsi « regarde » (strophe 2), « t’en souvient-il » (strophe 4). I€ noter que le poete tutoie la nature, il partage avec cette dernii?re ses souvenirs « tu la vis asseoir ». On peut se rendre compte que non juste y partage ses souvenirs avec la nature mais il lui demande en plus de devenir la gardienne des souvenirs ! la nature devra garder l’empreinte de leur amour. « Gardez, belle nature, au moins le souvenir ! »


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